dimanche 26 juin 2011

Je suis...


 Parisienne



Puiser la Force


Rire....


Le naturel...



Le Mouvement Féminin...


Amour A2



Amour à vie


Les voyages....


Présent....


MelleSheng

jeudi 23 juin 2011

Epistolaire

Quand souffle du Nord de Daniel Glattauer








Daniel Glattauer fait toute sa scolarité à Laaer Berg, dans la grande banlieue sud de Vienne, où il passe son baccalauréat en 1978. Il termine ses études de pédagogie et d'histoire de l'art en 1985. Par la suite il travaille comme journaliste, d'abord pour le journal viennois Die Presse et à partir de 1989 pour le Standard.

Son premier roman Theo und der Rest der Welt ("Théo et le reste du monde") sort en 1997. En 2001 il publie également un recueil des ses articles et éditoriaux, Die Ameisenzählung ("Le comptage des fourmis").

Emmi Rothner souhaite résilier un abonnement au magazine "Like" par e-mail. Seulement, à cause d'une erreur de frappe dans l'adresse, son mail atterrit dans la boîte de réception de Leo Leike. Après des explications sur ce malentendu, par mail toujours, et quelques piques humoristiques, des échanges plus personnels ont lieu entre ces deux personnes. Petit à petit, une correspondance passionnée s'établit entre deux êtres qui ne se connaissent pas et ne se sont jamais vus...

Du virtuel à l'amour. Des échanges de mail anodins à des mails d'amour, de sentiments...
Une histoire que beaucoup ont pu vivre. Le passage du virtuel au réel. Le manque d'un écrit, d'un mail avant de devenir le manque d'une personne.

Un récit vif, truculent, résolument moderne...on se prend au jeu de la séduction à travers un écran derrière nos pages. On rêve d'être Emmi...on rêve de prendre un verre de  "whisky "dans l'attente de ce clic qui annonce le mail...On rêve d'attendre Léo, on imagine Léo et son verre de vin rouge.

A lire si on aime les échanges de mails, si l'on aime rêver et ...rêver...et j'aime rêver

La suite....

Septième vague...


Leo, de retour des Etats-Unis, la correspondance entre Emmi et lui reprend, d'abord timide après de longs mois de silence, puis tout s'enchaîne.
Mais voici qu'Emmi souhaite en finir pour de bon et mettre un terme à cette relation épistolaire. Pour cela, elle veut rencontrer Leo, une fois au moins…
La rencontre a lieu – conformément à la forme consacrée du
roman épistolaire – sans public. le lecteur n'aura droit qu'au compte-rendu…
La relation virtuelle survivra-t-elle au test de la réalité ? Com-ment maintenir la tension, si les deux personnages ne peuvent plus se cacher derrière les mots, mais se retrouvent face à face ? C'est là tout le charme, pétillant et captivant, de cette
romance virtuelle et virtuose.

Je me lasse...je m'enerve après Léo. Je suis toujours dans le livre. ...j'en veux à Emmi
C'est oui, c'est non ? C'est trop long...trop de longueur, pas de troisième tome svp, pour une si belle histoire, je serai déçue et de me déconnecter


MelleSheng 

Amoureuse

Toujours avec un livre depuis toute petite, ma mère "m'a initié" à la lecture avec la Comtesse de Ségur. 
Elle même avait une bibliothéque bien fournie, une dévoreuse de livres.
 Des classiques...elle me les racontait, mais savait s'arrêter pour me donner l'eau à la bouche...c'est ainsi que j'ai aimé Alexandre Dumas, Victor Hugo...et puis Simone de Beauvoir, Françoise Sagan, J.P Sartre...

Les livres font partie intégrante de ma vie. Si bien que je change de registre lorsque ma vie change aussi...La lecture me permet de me trouver, de m'évader, c'est mon havre de paix. Je découvre, j'apprends, je sais...



C'est une source de mine d'or : des mots, des phrases, de l'élégance, de la violence, de l'humour, des sentiments, de l'imagination, du passé, du futur...

C'est un rapport à  l'objet : la couverture, la texture, l'auteur (homme-femme ?).
 tenir cet objet dans ma main, c'est comme un feeling qui se passe entre lui et moi...parfois ça passe, parfois ça casse.


Les livres ont une vie...avant lorsque l'écrivain le travaille, pendant lorsqu'il paraît et que le lecteur se prend dans ses pages, et après lorsqu'on en parle encore des années aprés sa parution,  lorsqu'il devient "le classique" des livres. Celui qui nous a laissé des traces...Plus elles sont profondes, plus le livre est bon...

Le livre c'est un peu mon histoire...

MelleSheng

mercredi 22 juin 2011

Mère...

Poupée volée
d' Elena Ferrante.

Un auteur qui protège son anonymat afin "d'éviter de tomber dans le cirque médiatique qui entoure les écrivains". Napolitaine...sûrement, traduite souvent chez Gallimard.
Poupée volée par Ferrante



Premier livre de cet auteur que je lis.

Pourquoi Leda interrompt-elle brusquement ses vacances ? Enseignante à l'université de Florence, seule depuis que ses deux filles sont parties rejoindre leur père au Canada., elle passe quelques semaines au bord de mer et, parmis les estivants qu'elle observe chaque jours sur la plage, s'interesse surtout à une famille, une véritable tribu. Elle se lie plus particulièrement d'amitié avec Nina, jeune femme mariée à un homme plus âgée, et sa fille Elena qui semblent trés complices et comme étrangère à une famille un peu rustre. Cette recontre constiue pour Leda l'occasion de réfléchir à ses rapports avec ses propres filles, qu'elle a abandonnées pendant trois ans alors qu'elles étaient encore enfants, et à une maternité qu'elle n'a jamais pleinement assurmée. Saura t'elle se monter à la hauteur cette fois ?

Etre mère et femme à la fois...voilà un sujet actuel. S'aimer, aimer ses enfants, prendre du temps pour nous en tant que femme...avoir du temps pour nos enfants.

D'une écriture fluide et une histoire qui ne laisse pas insensible . On s'y pose des questions...On ne s'ennuie pas...on dévore les pages, on veut savoir...

On refait souvent le retour sur soi en tant que mère, en tant que femme. Une écriture avec ironie parfois, doute et humour mélangés. Une écriture forte de sentiments.

Je ne connaissais pas cet auteur et j'ai pris un réel plaisir à lire son roman.

Autre roman que j'aimerai lire d'Elena Ferrante

samedi 18 juin 2011

Il y a des livres...




L'homme qui voulait être heureux de Laurent Gounelle



Pourquoi ce livre ?

Laurent Gounelle est un specialiste du développement personnel
Son premier livre "L'homme qui voulait être heureux" est  une quête de soi qui n'arrête pas tout au long de la lecture. Des questions, mais des réponses aussi...si tant est que l'on soit en rechecher de quelque chose, ce qui a été mon cas lorsque je l'ai lu.
Un livre qui peut apporter une "confiance en soi"...ne pas avoir peur d'avancer, ne pas avoir peur de ces rêves...tout au moins savoir rêver sa vie et pouvoir la vivre. Se donner les moyens de vivre ses rêves.
C'est une introspection ...se poser les questions, les vraies questions sur soi-même.
Un peu comme si nous devions faire une liste de "j'aime-j'aime pas", "je veux faire-comment y arriver".

J'ai fermé ce livre et j'ai essayé de rêver ma vie...c'était l'été dernier. Au bord d'un bassin, les pieds dans l'eau j'ai demandé à mon compagnon "Imagine que tu n'aies aucunes barrières, pas de soucis d'argents, ni soucis de diplômes...qu'aimerais tu faire dans la vie ? en choisissant un métier et un hobby "
Et nous voilà partis à rêver lui et moi...

"Mais le rêve ne suffit pas...Vivre ses rêves, être acteur de sa vie c'est encore mieux..."

J'ai donc depuis ce livre...fait un bilan de compétence, je me suis cherchée professionnellement et je monte actuellement un dossier pour me former au métier du livre.
J'ai suivi cette année, même si ce n'était pas assidue des cours de photographies...

Ce n'est pas un livre de "recettes au bonheur"...Non, c'est simplement un livre qui peut permettre à certains lecteurs de se comprendre, un parcours initiatique, si l'on veut.

citations :

— Si vous ne renoncez à rien, vous vous abstenez de choisir. Et quand on s’abstient de choisir, on s’abstient de vivre la vie que l’on voudrait.

- Je crois que chacun rencontre dans son existence un grand nombre d’opportunités en tout genre, et que certains savent les repérer et les saisir, d’autre pas.



MelleShang

Il y a...

..Dans mon cabas, ce que j'aime, ce que je  partage...
...De mes lectures à ma musique, de mes envies à mes découvertes,  de mes joies à mes blessures...
...De mes voyages à mes rêves...
...De ma vie parisienne à ma vie professionnelle...

je vide ici lentement mon cabas rempli de gourmandises de la vie...

Melle Shang...